
Dans un texte bien mené, Louis Marie Kakdeu rend hommage à l’homme politique mort la semaine dernière en France.
J’avais pris l’habitude ces derniers temps à le titiller en lui disant qu’il était devenu un « gars de la diaspora », tellement il avait duré à l’étranger. On se comprenait bien parce que c’est lui qui m’avait poussé à rentrer au pays. C’était en février 2015. Loin en Transylvanie. En Roumanie. J’étais en postdoc. Bernard m’avait repéré depuis un bon bout. J’avais le profil qui l’intéressait. J’y reviendrais. Ça faisait aussi un bon bout que l’on discutait presque tous les soirs via skype.